Avec près de 18 milliards d’euros de chiffre d’affaires, la filière électronique française est un pilier de notre économie, au cœur des transitions numérique et écologique, et essentielle à la réindustrialisation du pays. Elle regroupe des secteurs clés : microélectronique, assemblage, connectique, logiciels embarqués, circuits imprimés, etc.

Ce nouveau contrat 2025-2028 s’articule autour de 4 axes majeurs :

1. Renforcer l’attractivité et les compétences : orientation, féminisation, montée en compétences via l’European Chips Skills Academy.
2. Soutenir l’innovation au service de l’environnement : écoconception, recyclage, matériaux durables.
3. Consolider la chaîne de valeur : sécurisation des approvisionnements, observatoire du marché.
4. Développer des capacités de production durables : cartographie des besoins, sobriété hydrique, autonomie stratégique.

Ce contrat marque une nouvelle étape dans la mobilisation collective de l’écosystème, avec la création de la Fédération de l’Électronique Française, réunissant ACSIEL, SNESE, SPDEI et EMBEDDED France.

Comme l’a souligné Frédérique Le Grevès :
« Nous affirmons notre engagement collectif à faire de la filière électronique française un pilier d’innovation durable et de souveraineté industrielle. »

L’électronique est plus que jamais un levier stratégique pour bâtir une industrie résiliente, durable, compétitive et exemplaire à l’échelle française, européenne et mondiale.