Visuel CSF GI2024


GI2024 :
Bilan globalement positif
pour le CSF Industrie Électronique

 

Stand CSF Industrie Electronique GI2024

 

Paris, le 11 avril 2024 : Le CSF Industrie Électronique, entouré de ses partenaires historique, ACSIEL Alliance Electronique, le SNESE et le SPDEI, a affirmé sa présence à l’édition 2024 du salon Global Industrie, réitérant ainsi son engagement envers les principaux acteurs de la filière électronique.

Jean-François MAIRE et Eric BURNOTTE - SNESE @ GI2024

Jean-François MAIRE et Eric BURNOTTE – SNESE @ GI2024

 

Thomas LOOS et Sandrine BEAUFILS - #ACSIEL @GI2024

Thomas LOOS et Sandrine BEAUFILS – #ACSIEL @GI2024

 

L’édition de cette année a connu une augmentation du nombre de visiteurs et d’exposants, consolidant le succès de la formule « Village Électronique », unanimement saluée pour sa capacité à fédérer une diversité d’entreprises, des sous-traitants traditionnels aux fabricants et distributeurs de composants et équipements industriels.

Au cœur dynamique du village, animé par le CSF, plus de cinquante entreprises ont partagé et échangé leurs expertises, témoignant ainsi de la vitalité et de l’innovation prédominantes dans le secteur. Malgré les incertitudes et les défis persistants sur certains marchés en début d’année, l’atmosphère était résolument optimiste, anticipant une reprise robuste pour le second semestre. Cette perspective encourageante est soutenue par les résultats positifs de 2023 et promet d’être favorable pour 2024, soulignant une fois de plus l’importance vitale de l’électronique dans les industries en quête d’innovation, de performance énergétique, de réactivité et de connectivité.

Notons la présence importance du monde de l’enseignement à travers des professeurs, des inspecteurs académiques et surtout de jeunes dans les allées du village à la recherche d’information, de stages ou de contrats d’apprentissage. Preuve du regain d’intérêt pour notre filière, mais beaucoup reste à faire et nous devons plus que jamais nous mobiliser autour de l’attractivité des métiers de l’électronique.

 

Temps fort de ce « Village Électronique » : le désormais traditionnel concours de brasage manuel organisé par l’IPC en coopération avec l’IFTEC. Concours au cours duquel les femmes de l’électronique ont particulièrement brillé, tant par leur présence que par leur dextérité. Elles remportent, en effet, les trois premières places et le prix par équipe du SNESE.

Remise des prix IPC GI2024

Remise des prix IPC GI2024

 

Moment particulièrement important de GI2024 : le passage de témoin, en présence de Roland Lescure, ministre de l’Industrie, par Frédérique Le Grevès, présidente du CSF et présidente de STMicroelectronics, de son rôle de marraine d’IndustriELLES à Catherine McGregor, PDG d’Engie. Elle a souligné l’importance de poursuivre le soutien et le développement de projets favorisant une participation accrue des femmes dans le secteur, tout en présentant un bilan fort honorable pour 2023-2024 et de beaux succès déjà obtenus.

 

Le CSF Industrie Électronique reste ainsi au centre des projets de transition écologique, contribuant quotidiennement à l’émergence de nouvelles solutions pour économiser l’énergie, « verdir » l’industrie, et améliorer la mobilité et la sécurité.

À travers son engagement dans de multiples projets notamment celui d’une réflexion sur une fédération de l’électronique, il joue un rôle crucial dans les efforts de réindustrialisation et de renforcement de la souveraineté nationale, démontrant l’impact significatif des systèmes électroniques avancés sur les filières aval.

 

TRANSMISSION POUR DIFFUSION

Une nouvelle ambition pour fédérer l’Industrie Électronique Nationale


Paris, le 16 janvier 2024 : Les organisations professionnelles ACSIEL, EMBEDDED France, SNESE, et SPDEI annoncent une initiative, en coordination avec les acteurs économiques regroupés dans le Comité Stratégique de Filière (CSF), destinée à fédérer et à renforcer l’ensemble de la filière de l’industrie électronique nationale dans un environnement complexe.

Face aux défis mondiaux et aux évolutions technologiques rapides, il est essentiel pour la France de conserver une position de leader dans le secteur de l’électronique et des domaines qui lui sont liés (Composants, cartes, logiciels embarqués, équipements).

L’environnement complexe de l’industrie électronique

L’industrie électronique et ses différentes composantes (composants, cartes, logiciels embarqués, équipements) sont actuellement confrontées à un ensemble de défis communs qui ont conduit à l’idée de cette initiative.

Parmi ces défis, nous pouvons souligner :

> Un fort accroissement de la demande de produits électroniques et de systèmes embarqués qui sont des solutions pour répondre aux deux grands enjeux sociétaux que sont la transformation digitale et à la transition énergétique. Cette augmentation crée des pressions sur les capacités de production.

> Un besoin important en recherche et développement pour rester à la pointe de l’innovation dans un contexte mondial en constante évolution (systèmes cyber-physiques, intelligence artificielle et cybersécurité embarquées, edge-computing et continuité digitale, …).

> Une chaîne d’approvisionnement mondiale complexe qui demande un travail de coordination avec les filières aval afin d’équilibrer l’offre et la demande.

> Des tensions géopolitiques créant de l’incertitude : les restrictions américaines à l’export, les relations entre la Chine et Taiwan, ainsi que la guerre russo-ukrainienne et le conflit Israélo- palestinien, ont créé un climat d’incertitude dans l’industrie électronique mondiale et un manque de visibilité.

> Des chaînes d’approvisionnement amont confrontées à des défis majeurs en termes de disponibilité de matières premières, d’équipements et de composants essentiels.

> Un besoin croissant d’augmenter l’attractivité de la filière afin de pourvoir les postes ouverts (18 000 sur les 3 prochaines années uniquement sur le domaine des composants et plusieurs dizaines de milliers pour les logiciels embarqués et solutions applicatives) et travailler avec le monde académique pour développer les compétences.

 

Pour piloter ce projet, les organisations professionnelles ACSIEL Alliance Electronique, EMBEDDED France, SNESE, et SPDEI, ont décidé de nommer Alain Gorrec, actuel Président du SPDEI, responsable du projet.

Alain Gorrec, 64 ans, est ingénieur de l’INSA de Lyon avec une formation complémentaire à l’ESSEC. Il a accompli toute sa carrière dans l’industrie Electronique à des postes de direction générale de PME

Française, d’un groupe international de distribution de composants électroniques, d’entrepreneur par la reprise d’une PME spécialisée dans la fourniture de produits et services adressés à l’industrie ferroviaire.

En collaboration avec Frédérique LE GREVES, Présidente du CSF, le responsable du projet aura pour principales missions, pour l’année 2024, d’établir les contacts nécessaires avec l’ensemble de l’écosystème de l’industrie électronique, y compris les filières amont et aval et d’effectuer l’ensemble des démarches et actions indispensables au succès de cette initiative.

La filière électronique française en chiffres

 La filière électronique française représente un pilier économique essentiel du pays, avec un chiffre d’affaires de 15 milliards d’euros, dont 4 milliards d’euros sont générés à l’export, 5 milliards d’euros dans l’assemblage électronique, 3 milliards d’euros dans la connectique, les composants passifs et les PCB, et 3 milliards d’euros dans les logiciels embarqués, la distribution et les équipements.

Cette industrie mobilise 8 000 chercheurs dans les organismes de recherche publics, génère 170 000 emplois indirects et 80 000 emplois directs.


TRANSMISSION POUR DIFFUSION

 

Contact presse

Léna Derudder
lacroix@looksharp.fr Tél. : +33 6 12 83 31 66

 

 

Paris, le 8 novembre 2023 – Le baromètre de l’électronique #ACSIEL Alliance Electronique agrège depuis 2017 les ventes trimestrielles de la filière électronique en France.

 

Deux indices composent ce baromètre :

  • l’un indique les ventes liées aux composants électroniques (semiconducteurs, passifs, circuits imprimés, connectique) et consommables (crèmes à braser, flux, accessoires) destinés à l’industrie
  • l’autre se réfère aux les ventes liées aux équipements de test et mesures électroniques, équipements de production de cartes électroniques.

 

Le Collège Equipements & Services et Test & Mesures d’#Acsiel vient de finaliser le baromètre du 3e trimestre 2023.

 

  • Composants et consommables électroniques*

Analyse

Une baisse est perceptible depuis deux trimestres dans les ventes de composants électroniques (semi-conducteurs, passifs, circuits imprimés et connecteurs) et consommables en France, et les prises de commande sont en baisse. En glissement annuel, le niveau de notre indice reste positif au troisième trimestre (+4%) mais cette croissance a très nettement ralenti.

Cependant, l’indice reste largement au-dessus de son niveau d’avant covid, principalement grâce aux semiconducteurs.

Le ralentissement actuel montre que l’amplitude de la reprise n’était pas uniquement générée par une hausse de la demande mais également par une reconstitution des stocks sur l’ensemble de la « supply chain ».

Dans le même temps, les très importants investissements réalisés par les fabricants ont permis une augmentation de la production et une réduction appréciable des délais de livraison.

Les corrections de stocks, l’inflation, la hausse des taux d’intérêt et les tensions géopolitiques croissantes sont des facteurs négatifs pour l’ensemble de notre industrie et tendent à dégrader la confiance des acteurs sur le court terme.

Dans l’automobile, un secteur notoirement prépondérant en France, le portefeuille de commandes des constructeurs était très élevé du fait de la forte croissance de la demande combinée aux retards de livraison dus à la pénurie. Mais la « pervasion » de l’électronique couplée à la croissance rapide du véhicule électrique ne permet pas de compenser indéfiniment la baisse d’autres marchés dans un environnement dégradé et avec une concurrence exacerbée.

Le segment industriel, qui a jusque-là bénéficié de sa fragmentation et d’une certaine inertie, commence à s’essouffler. L’inflation et la hausse des taux d’intérêts ont largement réduit la demande de certains marchés dont la domotique.

En revanche, pour les marchés de l’aéronautique, de l’aérospatial et de la défense, les signaux restent au vert.

 

  • Equipements de test et mesures, machines de production*

Analyse

Au troisième trimestre 2023, l’indice des équipements d’investissement a enregistré une forte baisse tant séquentielle (-15%) que sur un an (-23%).

La consommation des équipements de test et mesures constitue un indicateur pertinent de l’investissement dans l’électronique en France. En moyenne glissante sur un an, la composante « test et mesures » de notre indice s’est retournée au troisième trimestre après une croissance historique due à de forts investissements dans la période post-covid. Cette croissance ne pouvait continuer sur un tel rythme et prend une « respiration », mais des facteurs propres au marché ont aussi contribué au ralentissement. En particulier dans le secteur des télécoms : alors que le déploiement de la fibre est quasiment achevé, la 5G qui reste une technologie prometteuse n’a pas encore pris son essort. Par contre, les investissements sont conséquents dans l’aérospatial, la défense et l’automobile (principalement dû à l’électrification), et nous avons en France des acteurs de taille mondiale.

Pour les machines de production destinées notamment à la sous-traitance électronique, on assiste à une baisse des commandes et des facturations depuis le deuxième trimestre. Cette baisse fait suite à une année de forts investissements en équipements de production. Le manque de visibilité dans les grands projets structurants freine les investissements. On peut raisonnablement envisager une reprise si les grands projets nationaux et européens entrent en action (automobile, espace, défense, énergies). Cependant, la pénurie de main d’œuvre qualifiée est devenue une préoccupation majeure de la profession car elle va dans certains cas jusqu’à compromettre la production. Cela rappelle l’immense besoin de formation pour satisfaire les objectifs ambitieux de réindustrialisation affichés par les pouvoirs publics.

Alors que les perspectives de long terme restent favorables, on ne peut que souligner ici aussi que les surstocks, l’inflation, la hausse des taux d’intérêt et les tensions internationales ont un impact sur la confiance quel que soit le domaine et induisent une prudence générale en matière d’investissement.

 

Transmission pour diffusion

 

A propos d’#Acsiel

ACSIEL Alliance Électronique est l’organisation professionnelle de l’électronique, regroupant l’ensemble des acteurs alimentant la chaîne de valeur amont de l’électronique en France de la formation à la R&D et jusqu’à la maintenance des produits électroniques tout au long de leur cycle de vie, en associant tous les types d’acteurs, de la PME aux grands groupes et aux laboratoires. Son positionnement est celui d’une organisation qui parle aux donneurs d’ordres et aux institutionnels, qui échange avec tous les acteurs de l’écosystème, qui crée et promeut les conditions du développement de l’activité, des métiers et des emplois. ACSIEL Alliance Électronique compte 120 adhérents pour 100 000 emplois directs et induits générant sur le territoire un chiffre d’affaires supérieur à 8 milliards d’euros.

L’Alliance rassemble les acteurs des composants, des systèmes, du test et de la mesure électronique, des équipements, des consommables et des services pour l’industrie électronique.

 

 

Contact presse #ACSIEL

Véronique CIREDECK
Responsable communication & PP
Tél. : +33 (0)6 80 17 04 30
Contact mail

Dans le cadre de l’EDEC Electronique et Photonique, le CSF Industries électroniques a réalisé en collaboration avec la DGEFP, l’OPCO 2I et l’UIMM une étude confiée au cabinet Kyu publiée en décembre 2020 qui a fait l’objet d’un complément d’étude en mai 2021. Cette étude prospective dresse un état des lieux de la filière en matière d’emploi, évalue les besoins en recrutement en fonction de la typologie des entreprises et identifie les compétences attendues par celles-ci dans les 3 à 5 prochaines années. Elle analyse également l’offre de formation initiale au regard des compétences attendues et des tensions métiers.

 Cette cartographie dynamique récemment actualisée permet de géolocaliser sur le territoire ces formations.

 Cliquez ici pour accéder à la cartographie

 

L’étude a notamment permis de montrer qu’il y a environ 30 000 étudiants dans les filières électroniques dont 24 000 en dernière année de formation diplômante (BacPro, BTS, DUT) et 6 000 en dernière année de l’enseignement supérieur (licence, master, ingénieurs) répartis sur environ 250 diplômes.

 

Cette étude révèle enfin que la filière industrie électronique est créatrice d’emploi puisque près de 18 000 créations de postes sont possibles sur les métiers de l’électronique dans les 3 prochaines années dans de multiples secteurs d’activité avals, en dehors des besoins en recrutement liés au turn-over et aux départs en retraite. En complément 3000 créations de postes sont envisagées au sein même de la filière.

Il apparait que les 3 principaux métiers recherchés dans l’électronique sont ingénieur hardware, technicien en électronique et opérateur de production.

L’attractivité fait partie des principaux enjeux vis-à-vis de la formation initiale en électronique nécessitant l’adaptation de l’offre de formation. Un programme de communication sur les métiers de l’électronique auprès des jeunes des collèges et lycées démarrera prochainement, l’objectif étant un déploiement national et régional.

Par ailleurs, le CSF Industries Electroniques a mené une seconde étude dans le cadre de l’EDEC, confiée au cabinet MASER, visant à  accompagner les évolutions de compétences par une ingénierie de formation innovante et un renforcement de la coopération de la filière avec les acteurs de la formation professionnelle. Elle conclut à la nécessité d’une structuration pédagogique et à la création de ressources d’auto-formations,  au développement d’une nouvelle offre de formation continue, à la création d’une plateforme collaborative de mise en relation apprenants/organismes de formation et industriels et à la création d’une image attractive de la filière.

 

Le CSF poursuivra son ambition pour la promotion et la mise en œuvre des différents actions identifiées

« Pour un leadership français sur l’électronique de puissance »

 

Filière automobile et Filière électronique unissent leurs forces pour
constituer une équipe de France de l’électronique de puissance

La Plateforme automobile et la Filière électronique unissent leurs forces et ont achevé la première semaine de l’électronique de puissance qui s’est tenue du 6 au 10 juillet 2020 :
6 webinaires et un demi-millier d’acteurs mobilisés sur l’ensemble de la semaine et 23 projets présentés, tous de très bon niveau.

 

Le Communiqué de presse est disponible en téléchargement sur ce lien.

www.filiere-electronique.fr , le portail de référence de l’industrie électronique française

 

Paris, le 17 septembre 2019 – Quelques mois après la signature du Contrat stratégique de la filière électronique par Bruno LE MAIRE, Ministre de l’Économie et des Finances, et les organisations professionnelles structurantes de la filière (FIEEC, ACSIEL, Embedded France, SNESE, SPDEI), le Comité Stratégique de Filière (CSF) « Industrie Électronique » se dote d’un site internet.

Conçu pour faire connaître et promouvoir les enjeux clés de l’industrie électronique française, le site internet http://www.filiere-electronique.fr/ constitue une véritable plateforme de ressources utiles aux membres de la filière et plus largement aux entreprises utilisatrices d’électronique. Il offre de nombreuses informations qui permettent aux acteurs concernés de participer activement aux travaux du CSF. Le site internet référence ainsi les outils phares permettant d’appréhender les six leviers d’action du CSF « Industrie Électronique », validés par le Conseil national de l’industrie (CNI) et formalisés dans le contrat stratégique de filière : l’innovation, l’industrie électronique du futur, la diffusion de l’électronique, les compétences et emplois, l’international et l’intelligence artificielle.

 

« La Filière électronique, socle industriel incontournable de la révolution numérique et de la transition énergétique, comprend une multitude d’acteurs dans des domaines allant des technologies de la nanoélectronique et de l’électronique de puissance jusqu’aux activités d’assemblage et d’intégration, disposant de compétences, de technologies et de savoir-faire reconnus. Avec ce site Internet, nous proposons une vitrine commune où exposer et promouvoir cette formidable richesse pour notre pays. C’est un pas de plus vers la transformation de ces atouts en véritable dynamique permettant de modifier en profondeur la perception et l’attractivité de la filière en France ainsi qu’à l’international » souligne Thierry TINGAUD, Président du CSF « Industrie Électronique ».

 

A propos du CSF « Industrie Électronique »

Avec la création du Comité Stratégique de Filière dédié à l’industrie électronique par le Conseil National de l’Industrie (CNI) présidé par le Premier ministre, l’ensemble des composantes de la filière électronique s’est regroupé sous une même bannière avec l’ambition de rendre son industrie encore plus performante et, compte-tenu de son caractère pervasif, d’entraîner l’ensemble de l’industrie française dans la voie de la modernisation. L’industrie électronique compte 1 100 entreprises, hautement spécialisées et qualifiées, et représente 250 000 emplois. Son chiffre d’affaires s’élève à 15 milliards d’euros.

Le Communiqué de presse est disponible en téléchargement sur ce lien.

 

Contact presse :

Julie BAGDIKIAN

01 45 05 70 57 / 06 26 90 14 49

Technocampus Électronique d’Angers

La Filière électronique annonce la création de la première plateforme d’accélération de l’industrie électronique du futur

Cliquez ici pour visualiser le CP du 6 mai 2019